dimanche 30 novembre 2008

PRESQUE A L'AFFICHE

Il ne reste plus beaucoup de temps pour aller voir le film de Jean-Paul Jaud « Nos enfants nous accuseront » dont vous pouvez ici visualiser la bande annonce. Il n’est plus à l’affiche à Paris qu’au cinéma les 7 parnassiens.
Au delà des révélations sur l’alimentation industrielle, des démonstrations sur le lien entre cette dernière et l’augmentation des cancers, de la stérilité et des maladies dégénératives, on y découvre une autre façon d’appréhender l’agriculture française. Car si nous sommes le premier pays européen en matière d’utilisation de pesticides, ce sont ces agriculteurs les premiers à être touchés et à développer des symptômes irréversibles. Des familles entières, et souvent des enfants, sont touchés. Fait troublant et peu évoqué, Jean-Paul Jaud démontre qu’ils sont malgré eux pris au piège d’un système qu’ils alimentent, et confirme que seule la volonté politique manque aujourd'hui au rééquilibrage de nos productions alimentaires.

Lien officiel du film: http://www.nosenfantsnousaccuseront-lefilm.com/


lundi 24 novembre 2008

INTRODUCTION

Notre société moderne pousse l’homme à entasser les diplômes d’écoles prestigieusement couteuses, l’argent, les possessions matérielles...à remplir son frigo d’aliments génétiquement modifiés, de sucre, de produits laitiers, de viandes, de produits chimiquement toxiques…à passer de nombreuses heures par jour devant la télévision, la console de jeux, en salle de sports… et à rêver de millions d’euros, de pouvoir d’achat.

Tout cela pourquoi et à quel prix ?
Pour être heureux et accéder au bonheur ?

Pourtant de cette frénétique accumulation l’homme ne tire que des peurs, des angoisses, de la dépression et de la solitude. Les maladies de dégénérescence du corps humain se multiplient, la faim dans les pays dit « sous développés » persiste, la pollution de notre environnement, aujourd’hui indéniable, laisse indifférent.
Nous courons après le bonheur, mettons en œuvre tout ce que nous croyons nécessaire pour y accéder, mais sitôt que nous l’approchons celui-ci se révèle éphémère.
Pourtant le bonheur est proche et c’est en nous qu’il faut chercher.

Brisons les chaines de cet embrigadement et de ce conditionnement des grandes industries agroalimentaires et pharmaceutiques, des média, des gouvernements et de tous ces partis politiques qui nous guident comme un troupeau de moutons.
Sortons de cet état de glouton qui nous pousse à consommer, de cet égo qui nous amène à écraser les autres sans scrupule ni réflexion.

Admirons la nature qui nous entoure.
Ouvrons-nous aux autres ; voyageons et découvrons d’autres pays, d’autres cultures.
Et surtout plongeons dans notre mental profond.
Le bonheur, la paix et la liberté sont là, à porté de main.

Sortons du troupeau, devenons un mouton vert.